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Kilométrages au compteur :
Jules ► 19 100 Km
Jim ► 5 718 Km
Et c'est parti mon KiKi !
De Buenos Aires à Bahia Blanca par la Pampa du Sud (du 12 au 24 Février 2007)
Nous passons trois jours à Buenos Aires à faire des démarches pour les 
assurances. Pour Jules tout est simple mais pour Jim c'est plus difficile. La réglementation a changé ces dernières années et les compagnies sont plus réticentes pour assurer les motos et scooters des étrangers. On a fini par trouver une compagnie anglaise qui, après expertise, a accepté de l'assurer. Il s'agit de Royal & SunAlliance, on peut leur faire de la pub car ils ont été très sympas. Nous avons aussi couru de bureau d'information en bureau d'information avec des résultats plutôt médiocres.
Pour le peu que nous avons vu en courant, de Buenos Aires, on peut dire que c'est une grande ville avec des parcs partout et du monde beaucoup, beaucoup et partout, partout, on peut dire aussi, haut et fort, que c'est une ville bruyante,
bruyante ! Vous en saurez plus sur cette ville quand nous y repasserons dans quelques mois et que nous la visiterons comme il se doit. Mais nous n'avons pas quitté Buenos Aires sans nous faire un bon restaurant de parilla et Daniel, le Cannibal, n'a pas été déçu. Il s'est fait une T.Bonne steak qui devait dépasser le kilo. Valérie, quant à elle, a pris un filet de boeuf, pensant que cela n'allait pas être trop gros. Elle s'est retrouvée avec deux énormes tranches de filet qui devaient dépasser les 500 grammes à elles deux. Conclusion, elle à dit qu'elle avait eu sa ration de viande pour le mois !
Pendant cette période nous avons émigré au camping de Tigre. Tigre est une
jolie petite ville à une trentaine de kilomètres au Nord de Buenos Aires dans le delta du Rio de la Plata. C'est aussi une cité lacustre. Tigre est un véritable havre de paix et nous avons été étonnés de trouver un tel endroit si près de la grande ville. Le seul inconvénient : qui dit cours d'eau, dit moustiques et ils sont nombreux et tellement affectueux ici. Valérie ne veux plus de camping au bord de l'eau.
Ingrid et Léo étaient également au Camping à Tigre. Nous avons passé de très bons moments ensemble, surtout les soirées. On se reverra peut être sur les routes, on l'espère.... Leur camping-car s'appelle Eugen !
PS : Nous n'avons pas fait de photo pour cette période, alors nous vous faisons visiter Jules !
assurances. Pour Jules tout est simple mais pour Jim c'est plus difficile. La réglementation a changé ces dernières années et les compagnies sont plus réticentes pour assurer les motos et scooters des étrangers. On a fini par trouver une compagnie anglaise qui, après expertise, a accepté de l'assurer. Il s'agit de Royal & SunAlliance, on peut leur faire de la pub car ils ont été très sympas. Nous avons aussi couru de bureau d'information en bureau d'information avec des résultats plutôt médiocres. Pour le peu que nous avons vu en courant, de Buenos Aires, on peut dire que c'est une grande ville avec des parcs partout et du monde beaucoup, beaucoup et partout, partout, on peut dire aussi, haut et fort, que c'est une ville bruyante,
bruyante ! Vous en saurez plus sur cette ville quand nous y repasserons dans quelques mois et que nous la visiterons comme il se doit. Mais nous n'avons pas quitté Buenos Aires sans nous faire un bon restaurant de parilla et Daniel, le Cannibal, n'a pas été déçu. Il s'est fait une T.Bonne steak qui devait dépasser le kilo. Valérie, quant à elle, a pris un filet de boeuf, pensant que cela n'allait pas être trop gros. Elle s'est retrouvée avec deux énormes tranches de filet qui devaient dépasser les 500 grammes à elles deux. Conclusion, elle à dit qu'elle avait eu sa ration de viande pour le mois !Pendant cette période nous avons émigré au camping de Tigre. Tigre est une
jolie petite ville à une trentaine de kilomètres au Nord de Buenos Aires dans le delta du Rio de la Plata. C'est aussi une cité lacustre. Tigre est un véritable havre de paix et nous avons été étonnés de trouver un tel endroit si près de la grande ville. Le seul inconvénient : qui dit cours d'eau, dit moustiques et ils sont nombreux et tellement affectueux ici. Valérie ne veux plus de camping au bord de l'eau. Ingrid et Léo étaient également au Camping à Tigre. Nous avons passé de très bons moments ensemble, surtout les soirées. On se reverra peut être sur les routes, on l'espère.... Leur camping-car s'appelle Eugen !
PS : Nous n'avons pas fait de photo pour cette période, alors nous vous faisons visiter Jules !
La Pampa du Sud ► Tandil (110 000 hab.)
Nous nous sommes déroutés de notre trajectoire « Au Sud Toute » pour venir dans cette ville de la Pampa du Sud pour satisfaire la gourmandise de Valérie. En effet, Tandil est une importante zone de production de produits laitiers et c'est une région fromagère très riche. On y « cultive »une centaine de fromages..... Après dégustation de quelques uns d'entre eux, Valérie a déclaré : « OK, ils ont la meilleure viande du monde, mais pour les fromages ils repasseront, car nous, nous avons les meilleurs laits du monde ! ».
Si les fromages ont été décevants, la ville, avec ses nombreux parcs et son
environnement, nous ont bien plus La ville est comme posée au flanc des collines de la Sierra de Tandil. Nous étions dans un magnifique camping à 6 Km du centre ville. C'est un très grand parc avec les campeurs installés uniquement en bordure du parc et tout le tour. Ce qui fait que nous avions une vue sur ce magnifique et vaste parc. C'était superbe. Il y avait énormément d'oiseaux et de beaux oiseaux que nous n'avions jamais vus : des verts et rouges, des beiges très rosés et puis, quand même, des espèces de moineaux comme chez nous mais ils ne parlaient pas la même langue ! Tout ce petit monde faisait un boucan de tous les diables.
En nous promenant dans la ville sur notre scooter, tout d'un coup nous avons vu surgir à notre gauche le camping-car d'Ingrid et de Léo. Cela a été un moment de joie très fort pour nous quatre et comme ils cherchaient un camping dans la région, nous les avons emmené au nôtre où nous sommes restés ensemble trois jours et avons eu de magnifiques soirées
Après Tandil, nous prenons la fameuse route n° 3 qui commence à Buenos Aires et finit, après 3 500 Km, en Terre de Feu. C'est une route mythique pour tous les voyageurs. Nous sommes en plein dans la Pampa du Sud. La route est belle, rectiligne à souhait, un peu perdue au milieu de nulle part. De chaque côté ce sont de grands espaces agricoles réservés soit à l'élevage, soit à la culture (maïs, tournesol). Les troupeaux sont énormes, nombreux et les boeufs sont le plus souvent tout noirs.
La Pampa du Sud ► Mar del Plata (700 000 hab.)
Cette ville, station balnéaire de la côte Atlantique, se trouve à 410 Km de
Buenos Aires. Les Argentins vouent une adoration sans nom à cette ville. Nous y arrivons au moment de l'année où est elle le plus chargée de touristes. Mar del Plata est un peu pour l'Argentine ce que Cannes est pour la France et la période actuelle correspond au 15 août en France, c'est vous dire la foule qu'il peut y avoir. Nous pensons même que c'est pire qu'à Cannes. Si vous voulez vous installer à la plage après 10h30 du matin, venez avec un petit tabouret pliant car il n'est pas envisageable de pouvoir poser sa rabane sur le sable ! Et quand on voit ces plages noires de monde et que dans l'eau aussi c'est noir de monde, on se demande où vont les gens quand ils ont assez d'être dans l'eau ? Il y a 8 kilomètres de plages à Mar del Plata et c'est partout pareil !
En arrière des plages l'on trouve de nombreux espaces réservés à la musique, à
la danse et aux échoppes. Il y a une ambiance d'enfer. Entre les pistes de tango où il y a des danseurs toute la journée, les orchestres de toutes sortes installés ici et là, plus les gens du cirque par-ci par-là, l'ambiance est vraiment exceptionnelle et nous, on finit par adorer. L'ensemble est délirant, c'est vrai mais tellement comique ! Nous y avons passé un moment chaque jour et nous y sommes restés trois jours. Cela restera un bon souvenir.
Quant à la ville, elle est belle avec de larges avenues, de beaux espaces verts.
Elle est riche et ça se voit. Il y a énormément de magasins, chics et moins chics, une foule de restaurants. Les grands groupes hôteliers sont présents avec ce qu'ils ont de meilleur. Il y a aussi un grand casino, qui fût à son époque dans les années 60, le plus grand du monde. C'est aussi une belle bâtisse.
Le port aussi est une curiosité. On a d'abord le sentiment que c'est un vrai foutoir et puis, en le découvrant pas à pas, on finit par comprendre comment ça marche. On y
trouve un gigantesque cimetière de gros bateaux, certains colonisés par les lions de mer, quel spectacle.... ensuite on trouve dans la même zone les ateliers de réparations et pour finir on découvre un magnifique port de pêche avec des bateaux rouge orangé et tous de la même couleur et sous le soleil du soir c'est un très joli spectacle. Nous y étions au retour des pécheurs et un moment après les lions de mer sont venus histoire de voir s'il n'y avait quelque chose à se mettre sous la dent. Le port aussi on a adoré.
Si vous passez dans la région, en été, arrêtez-vous à Mar del Plata !
Un petit zoom sur notre camping : nous étions installés dans le camping le plus proche de la ville (10 Km). Là aussi c'était noir de monde. Nous avons carrément été un peu effrayés. Nous ne sommes pas des habitués des campings, mais bon nous y sommes entrés. Nous passons par l'accueil et après avoir payé il a fallu que nous mettions des bracelets bleus fluos à nos poignets et ça on a pas aimé du tout et Chouchou a dit : « quoi ? Ils veulent nous baguer, ils nous prennent pour des volailles »....On s'installe et on découvre le camp. Des tentes de toutes les tailles et de toutes les couleurs et avec, et 
c'est bien normal tout ne peut entrer dans les tentes, un tas de bazar partout. Finalement, l'ensemble est bien sympathique et on finit par s'y plaire. Faut dire que les Argentins sont tellement gentils et prévenants avec nous qu'on ne peut que se sentir bien. Au cours de la deuxième nuit dans ce camping nous avons eu, entre 1h00 et 4h00 du matin, un violent orage. Pluie, grêle, éclairs et tonnerre étaient au RV et avec quelle maestria le vent nous a orchestré tout cela. Quand nous avons ouvert la porte de Jules vers 8 h 00, le camp avait des allures de champ de bataille. Tout autour de Jules ce n'étaient que ravines de sable ; il avait des traces de niveau d'eau jusqu'à un bon tiers de 
ses roues. Il était tout recouvert de feuilles sur le toit et les parois, Jim avaient les trous des jantes bouchées de feuilles et de brindilles de bois. Nos deux compères ont eu droit à un bon nettoyage. C'était beaucoup plus embêtant pour les campeurs. Mais le beau temps aidant, le soir tout était rentré dans l'ordre. Le plus drôle dans l'histoire, c'est que le soir nous avions mis nos tongues sous Jules, celles de Chouchou avaient achetées le matin-même, de couleur vert fluo de chez fluo, on aurait dit des tongues pour ver luisant et bien on ne les a pas retrouvées. Elles ont dû finir dans la rivière qui était un peu plus loin en contrebas ! En partant la dame de l'accueil est vite venue vers nous avec ses grands et nous a coupé nos bracelets et les a gardés !
Nous reprenons la n° 3 qui ne change pas beaucoup. Le vent y est très violent. Nous avons vu plusieurs formations de tornades et nous nous en sommes pris une en pleine poire. Jules a fait de sacrées embardées et les voitures devant plus encore. Heureusement, il n'y avait personne sur l'autre file. Il est vrai que cette route n'est pas très chargée en trafic.
Si les fromages ont été décevants, la ville, avec ses nombreux parcs et son
environnement, nous ont bien plus La ville est comme posée au flanc des collines de la Sierra de Tandil. Nous étions dans un magnifique camping à 6 Km du centre ville. C'est un très grand parc avec les campeurs installés uniquement en bordure du parc et tout le tour. Ce qui fait que nous avions une vue sur ce magnifique et vaste parc. C'était superbe. Il y avait énormément d'oiseaux et de beaux oiseaux que nous n'avions jamais vus : des verts et rouges, des beiges très rosés et puis, quand même, des espèces de moineaux comme chez nous mais ils ne parlaient pas la même langue ! Tout ce petit monde faisait un boucan de tous les diables.En nous promenant dans la ville sur notre scooter, tout d'un coup nous avons vu surgir à notre gauche le camping-car d'Ingrid et de Léo. Cela a été un moment de joie très fort pour nous quatre et comme ils cherchaient un camping dans la région, nous les avons emmené au nôtre où nous sommes restés ensemble trois jours et avons eu de magnifiques soirées
Après Tandil, nous prenons la fameuse route n° 3 qui commence à Buenos Aires et finit, après 3 500 Km, en Terre de Feu. C'est une route mythique pour tous les voyageurs. Nous sommes en plein dans la Pampa du Sud. La route est belle, rectiligne à souhait, un peu perdue au milieu de nulle part. De chaque côté ce sont de grands espaces agricoles réservés soit à l'élevage, soit à la culture (maïs, tournesol). Les troupeaux sont énormes, nombreux et les boeufs sont le plus souvent tout noirs.
La Pampa du Sud ► Mar del Plata (700 000 hab.)
Cette ville, station balnéaire de la côte Atlantique, se trouve à 410 Km de
Buenos Aires. Les Argentins vouent une adoration sans nom à cette ville. Nous y arrivons au moment de l'année où est elle le plus chargée de touristes. Mar del Plata est un peu pour l'Argentine ce que Cannes est pour la France et la période actuelle correspond au 15 août en France, c'est vous dire la foule qu'il peut y avoir. Nous pensons même que c'est pire qu'à Cannes. Si vous voulez vous installer à la plage après 10h30 du matin, venez avec un petit tabouret pliant car il n'est pas envisageable de pouvoir poser sa rabane sur le sable ! Et quand on voit ces plages noires de monde et que dans l'eau aussi c'est noir de monde, on se demande où vont les gens quand ils ont assez d'être dans l'eau ? Il y a 8 kilomètres de plages à Mar del Plata et c'est partout pareil ! En arrière des plages l'on trouve de nombreux espaces réservés à la musique, à
la danse et aux échoppes. Il y a une ambiance d'enfer. Entre les pistes de tango où il y a des danseurs toute la journée, les orchestres de toutes sortes installés ici et là, plus les gens du cirque par-ci par-là, l'ambiance est vraiment exceptionnelle et nous, on finit par adorer. L'ensemble est délirant, c'est vrai mais tellement comique ! Nous y avons passé un moment chaque jour et nous y sommes restés trois jours. Cela restera un bon souvenir. Quant à la ville, elle est belle avec de larges avenues, de beaux espaces verts.
Elle est riche et ça se voit. Il y a énormément de magasins, chics et moins chics, une foule de restaurants. Les grands groupes hôteliers sont présents avec ce qu'ils ont de meilleur. Il y a aussi un grand casino, qui fût à son époque dans les années 60, le plus grand du monde. C'est aussi une belle bâtisse. Le port aussi est une curiosité. On a d'abord le sentiment que c'est un vrai foutoir et puis, en le découvrant pas à pas, on finit par comprendre comment ça marche. On y
trouve un gigantesque cimetière de gros bateaux, certains colonisés par les lions de mer, quel spectacle.... ensuite on trouve dans la même zone les ateliers de réparations et pour finir on découvre un magnifique port de pêche avec des bateaux rouge orangé et tous de la même couleur et sous le soleil du soir c'est un très joli spectacle. Nous y étions au retour des pécheurs et un moment après les lions de mer sont venus histoire de voir s'il n'y avait quelque chose à se mettre sous la dent. Le port aussi on a adoré. Si vous passez dans la région, en été, arrêtez-vous à Mar del Plata !
Un petit zoom sur notre camping : nous étions installés dans le camping le plus proche de la ville (10 Km). Là aussi c'était noir de monde. Nous avons carrément été un peu effrayés. Nous ne sommes pas des habitués des campings, mais bon nous y sommes entrés. Nous passons par l'accueil et après avoir payé il a fallu que nous mettions des bracelets bleus fluos à nos poignets et ça on a pas aimé du tout et Chouchou a dit : « quoi ? Ils veulent nous baguer, ils nous prennent pour des volailles »....On s'installe et on découvre le camp. Des tentes de toutes les tailles et de toutes les couleurs et avec, et c'est bien normal tout ne peut entrer dans les tentes, un tas de bazar partout. Finalement, l'ensemble est bien sympathique et on finit par s'y plaire. Faut dire que les Argentins sont tellement gentils et prévenants avec nous qu'on ne peut que se sentir bien. Au cours de la deuxième nuit dans ce camping nous avons eu, entre 1h00 et 4h00 du matin, un violent orage. Pluie, grêle, éclairs et tonnerre étaient au RV et avec quelle maestria le vent nous a orchestré tout cela. Quand nous avons ouvert la porte de Jules vers 8 h 00, le camp avait des allures de champ de bataille. Tout autour de Jules ce n'étaient que ravines de sable ; il avait des traces de niveau d'eau jusqu'à un bon tiers de ses roues. Il était tout recouvert de feuilles sur le toit et les parois, Jim avaient les trous des jantes bouchées de feuilles et de brindilles de bois. Nos deux compères ont eu droit à un bon nettoyage. C'était beaucoup plus embêtant pour les campeurs. Mais le beau temps aidant, le soir tout était rentré dans l'ordre. Le plus drôle dans l'histoire, c'est que le soir nous avions mis nos tongues sous Jules, celles de Chouchou avaient achetées le matin-même, de couleur vert fluo de chez fluo, on aurait dit des tongues pour ver luisant et bien on ne les a pas retrouvées. Elles ont dû finir dans la rivière qui était un peu plus loin en contrebas ! En partant la dame de l'accueil est vite venue vers nous avec ses grands et nous a coupé nos bracelets et les a gardés ! Nous reprenons la n° 3 qui ne change pas beaucoup. Le vent y est très violent. Nous avons vu plusieurs formations de tornades et nous nous en sommes pris une en pleine poire. Jules a fait de sacrées embardées et les voitures devant plus encore. Heureusement, il n'y avait personne sur l'autre file. Il est vrai que cette route n'est pas très chargée en trafic.
La Pampa du Sud ► Bahia Blanca (315 000 hab.)
Un peu avant d'arriver dans cette ville, nous avons eu le plaisir, une fois, encore de croiser sur la route Ingrid et Léo. Nous étions tous si contents qu'on voudrait que cela se reproduise. Ils remontaient vers le nord et nous, nous allons vers le sud. Mais, qui sait, peut être que lorsque qu'on fera le nord de l'Argentine on les reverra. On reste en contact par mail.
Nous nous arrêtons dans cette ville uniquement pour faire réparer le pare-brisede Jules qui a une trace d'impact probablement dû aux gros grélons de l'orage. Nous nous retrouvons dans un quartier qui est carrément le royaume de l'automobile. En effet, ce ne sont que grands boulevards et rues consacrés à la voiture. Ce qu'on peut voir dans ces magasins pour embellir sa voiture est carrément du délire : boutons de levier de vitesse, allume-cigares, volants, jantes tout cela transformés en bijoux, et en de telle quantité, incroyable ! Et les « gomeria » (marchands de pneus) sont légions. Nous trouvons notre spécialiste de pare-brise et prenons RV pour le lendemain matin 8 h 00.
Nous profitons de l'après-midi pour visiter cette grande ville. Elle belle et
spacieuse, avec de beaux édifices, de beaux parcs et belles avenues plantées d'arbres. C'est aussi une ville riche et chic. C'est la plus grande base navale d'Amérique du Sud. Pour dormir, nous nous installons près d'un parc sur le parking d'une université. Bel endroit, tranquille, c'est les vacances scolaires ici en ce moment, mais c'est aussi vendredi soir et les Argentins le week end ça se déchaînent ! Vers 1 h 00 du matin, nous avons eu droit aux pétarades de motos, vrombissements de voitures, lesquelles motos et voitures avaient moteur et pot d'échappement trafiqués, joli boucan qui s'est arrêté brusquement à 7h00 du matin.
Retour sur la 3 et entrée en Patagonie quelques kilomètres plus loin.
Nous nous arrêtons dans cette ville uniquement pour faire réparer le pare-brise
de Jules qui a une trace d'impact probablement dû aux gros grélons de l'orage. Nous nous retrouvons dans un quartier qui est carrément le royaume de l'automobile. En effet, ce ne sont que grands boulevards et rues consacrés à la voiture. Ce qu'on peut voir dans ces magasins pour embellir sa voiture est carrément du délire : boutons de levier de vitesse, allume-cigares, volants, jantes tout cela transformés en bijoux, et en de telle quantité, incroyable ! Et les « gomeria » (marchands de pneus) sont légions. Nous trouvons notre spécialiste de pare-brise et prenons RV pour le lendemain matin 8 h 00. Nous profitons de l'après-midi pour visiter cette grande ville. Elle belle et
spacieuse, avec de beaux édifices, de beaux parcs et belles avenues plantées d'arbres. C'est aussi une ville riche et chic. C'est la plus grande base navale d'Amérique du Sud. Pour dormir, nous nous installons près d'un parc sur le parking d'une université. Bel endroit, tranquille, c'est les vacances scolaires ici en ce moment, mais c'est aussi vendredi soir et les Argentins le week end ça se déchaînent ! Vers 1 h 00 du matin, nous avons eu droit aux pétarades de motos, vrombissements de voitures, lesquelles motos et voitures avaient moteur et pot d'échappement trafiqués, joli boucan qui s'est arrêté brusquement à 7h00 du matin. Retour sur la 3 et entrée en Patagonie quelques kilomètres plus loin.